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Vendre de l'essence dans les rues est presque interdit dans nos villes. Seules les stations d'essence sont autorisées à le faire. Et lorsqu'un individu enfreint à la règle, il le paie cash.
La vente de l'essence se poursuit
Mardi, les forces de l'ordre ont encore procédé à l'arrestation d'un vendeur d'essence communément appelé "boudè".
Ces vigiles patrouillent toute la ville, du matin au soir pour surveiller ceux qui ne respecteront pas les consignes.
D'ailleurs, nous autres, on se demande si désormais leurs préoccupations est d'arrêter ces vendeurs ambulants.
Chaque jour, on vit les mêmes scénarios. La dernière en date du 07 août passée quand dans l'après-midi, l'assaut est lancé. D'habitude, ces vendeurs s'enfuient avant l'arrivée de la police. Mais le monsieur en question, on ne sait pas si c'est par manque de vigilance ou par négligence, a étalé sa marchandise au bord du pavé menant à Bè-kpota, un quartier de la localité. Quand la voiture de la police arrive, hésite un moment avant de prendre la fuite.
Malheureusement, il s'est fait capturer en choisissant de se cacher dans une maison d'à côté. Il est dans un premier temps battu avant d’être menotté et embarqué dans la grille policière. Quand aux bidons d'essence, tous sont évacués.
Qu’est-ce qui pousse à vendre l'essence dans la rue malgré l’interdiction
Tout ce qu'on peut noter dans cette affaire est que non seulement, l'individu sera déféré conformément à leur acte en vigueur, mais toute son économie a disparu. Nous invitons les autorités à revoir sérieusement ce moyen d'action.
Nous ne sommes pas en train de soutenir la vente de l'essence dans les rues. C'est misérable que des gens qui chôment et qui trouvent ce moyen pour gagner leurs pains quotidien puissent subir ces corvées.
Nous ne devons pas oublier que l'oisiveté entraine le vol et donc des cambriolages répétés. Seule notre société sera victime de banditisme.
Retrouvez cet article ici...
Mika PALOMA
Article originel rédigé par le rédacteur web, rédacteur d'article publicitaire à votre service, Mika PALOMA
Vendre de l'essence dans les rues est presque interdit dans nos villes. Seules les stations d'essence sont autorisées à le faire. Et lorsqu'un individu enfreint à la règle, il le paie cash.
La vente de l'essence se poursuit
Ces vigiles patrouillent toute la ville, du matin au soir pour surveiller ceux qui ne respecteront pas les consignes.
D'ailleurs, nous autres, on se demande si désormais leurs préoccupations est d'arrêter ces vendeurs ambulants.
Chaque jour, on vit les mêmes scénarios. La dernière en date du 07 août passée quand dans l'après-midi, l'assaut est lancé. D'habitude, ces vendeurs s'enfuient avant l'arrivée de la police. Mais le monsieur en question, on ne sait pas si c'est par manque de vigilance ou par négligence, a étalé sa marchandise au bord du pavé menant à Bè-kpota, un quartier de la localité. Quand la voiture de la police arrive, hésite un moment avant de prendre la fuite.
Malheureusement, il s'est fait capturer en choisissant de se cacher dans une maison d'à côté. Il est dans un premier temps battu avant d’être menotté et embarqué dans la grille policière. Quand aux bidons d'essence, tous sont évacués.
Qu’est-ce qui pousse à vendre l'essence dans la rue malgré l’interdiction
Tout ce qu'on peut noter dans cette affaire est que non seulement, l'individu sera déféré conformément à leur acte en vigueur, mais toute son économie a disparu. Nous invitons les autorités à revoir sérieusement ce moyen d'action.
Nous ne sommes pas en train de soutenir la vente de l'essence dans les rues. C'est misérable que des gens qui chôment et qui trouvent ce moyen pour gagner leurs pains quotidien puissent subir ces corvées.
Nous ne devons pas oublier que l'oisiveté entraine le vol et donc des cambriolages répétés. Seule notre société sera victime de banditisme.
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Mika PALOMA
Article originel rédigé par le rédacteur web, rédacteur d'article publicitaire à votre service, Mika PALOMA
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