jeudi 31 juillet 2014

La polygamie et ses problèmes


Gagnez gratuitement 25€ plusieurs fois/jour et par semaine grâce à ce business qui cartonne en ce moment. Plus de 2000 € en un mois garantit. Agissez-maintenant ! Chacun de nous est libre de choisir son conjoint. Le mariage est un mal nécessaire. Cependant est-ce l'occasion de prendre à la fois plusieurs partenaires ? Si tel est le cas, ne mesurons-nous pas les conséquences qui peuvent en découler ? Cela n'affectera-t-il pas nos progénitures qui attendent de nous l'exemple d'un bon parent ? 

Avant de répondre à ces questions, essayons de comprendre les raisons qui nous poussent à devenir polygames et les possibilités pour y remédier.

 

La polygamie, irresponsabilité ou tentation ?

La polygamie existe encore dans notre monde spécialement en Afrique. C'est un phénomène qui consiste à épouser plusieurs femmes à la fois. Ce mal n'affecte pas que la famille concernée, mais aussi la société dans laquelle elle se trouve. 

Outre les disputes conjugales, d'autres facteurs viennent élucider cette version. Tout d'abord, pour qu'une famille soit durable, il faut la compréhension mutuelle. Or les mésententes prennent souvent le pas sur les compromis, ce qui est mauvais. 

Ensuite, la soumission doit être de mise chez une femme qui veut vraiment fonder un bon foyer ; ce qui pour la plupart, manque à certaines parmi elles. Ces dernières ne l'entendent pas ainsi et cherchent à supplanter leurs conjoints. 

De la même façon, un homme exemplaire doit immortaliser un esprit affectif dans sa famille. Nombreux sont les hommes qui, rentrés de service ou de nulle part, font mauvaise mine rendant leur conjointe stressée et dégoûtée. 

Ainsi donc, il arrive que s'installe la discorde et les choses vont de mauvais train. Le mari étant obligé de se ressourcer, il cherche aussitôt à rentrer en union avec une autre femme. Ça, on l'appelle chez une ethnie de l'irresponsabilité puisque les enfants issus du premier mariage se heurtent à des barrières. 

Tout d'abord, la paix manque au foyer, il n'y a plus de communication, chacun fait ce qu'il veut. La pauvreté s'installe. Le père n'est plus capable de subvenir aux besoins de ses enfants. La mère se débrouille bon gré mal gré. Ce qui pousse les enfants à désobéir. 

On assiste cette fois-ci à un dérèglement familial et les coépouses si  elles sont ensemble ne s'en privent pas de querelles ; ce qui renforce la séparation et l'esprit de haine entre les enfants des deux épouses. 



Que faire alors face à cette situation ?

Pour ce faire, une bonne famille repose sur un bon père de famille. Chacun des hommes mariés doit savoir organiser sa petite famille, semer l'esprit de compréhension pour que réside à jamais ce modèle d'une famille bien fondée.


La polygamie n'est pas une bonne chose. Loin de là, elle détruit les foyers et occasionne la mésentente. Faisons un effort pour assurer un avenir meilleur à nos enfants qui attendent plus positifs de nous. Nos enfants sont la pierre angulaire de notre union. Soyons donc responsables.

                                                                                 Mika PALOMA

Article originel rédigé par le rédacteur web, rédacteur d'article publicitaire à votre service,  Mika PALOMA


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Les supplices des orphelins


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Beaucoup d'enfants dans le monde, subissent des corvées. Nombreux sont ceux qui ont perdu leurs parents. Bien qu'ils soient adoptés, ils y mènent une vie insignifiante. En plus de tout ça, ils sont traités comme des esclaves, exposés aux maladies et laissés à eux-mêmes. Plusieurs facteurs expliquent ces inégalités.



  • La perte des géniteurs
Suite aux importantes disparitions tragiques qui touchent notre jeune population mondiale, les enfants sont donc laissés-pour-compte. 

Certains se promènent dans les rues au moment où ils n'ont plus de soutien d'un proche parent ; d'autres trouvent leurs refuges chez des inconnus.


  • La maltraitance, le vécu quotidien des opprimés
Tant que des enfants n'ont pas accès à leurs droits, les individus sans scrupules ont toujours la voie libre pour les exploiter. 

Ils considèrent que personne ne viendra leur imposer quoi que ce soit et ils traitent les innocents comme des jouets. 

Ces habitudes sont continuelles dans certaines communautés qui attendent encore l'éclosion du droit des enfants. Ça, il y en a encore qui l'ignorent dans les pays en développement.


  • La délinquance devient la porte de sortie
Désespérés, ces enfants en quête de meilleures conditions de vie trouvent refuge dans des ghettos. Non scolarisés et privés de liberté, ils se transforment en véritables accros à l'alcool et la drogue

Ils ne tardent pas à sombrer dans le vol et se retrouvent plus tôt dans des prisons pour mineurs ou adultes. 

Une grande partie constitue un danger public et est poursuivie pour crime ou délit, tous dus aux besoins. Le banditisme est alors le vécu quotidien de ces enfants démunis.


  • Approche de solution
La création des orphelinats serait un atout majeur pour résoudre ce problème. Ça va  aider à couvrir le manque d'éducation et donc promouvoir l'importance des organismes dans la gestion de ce fléau.
      
Plusieurs enfants sont touchés tant moralement que psychologiquement par la perte d'un ou de leurs parents et sont à la recherche du réconfort. 

Nous devons mobiliser les hommes de bonne volonté à aller dans ces camps afin d'aider ces enfants. L'apport vestimentaire, alimentaire et scolaire serait une précieuse œuvre qui serait mentionnée en l'honneur des donateurs. 

Chacun doit noter qu'une pareille situation peut frapper un jour à sa porte ; donc préparons notre demain. Chacun de nos gestes doit être le reflet de ce que nous sommes et de ce que nous pensons.


 

En conclusion, ayons le courage d'aborder les enfants de rue, les convaincre pour ceux qui ont volontairement quitté leurs parents d'y retourner. Par contre, nous devons accepter les autres, c'est-à-dire les orphelins comme les nôtres et leur donner leurs chances de trouver une issue à leur vie.

                                                             Mika PALOMA



Article originel rédigé par le rédacteur web, rédacteur d'article publicitaire à votre service,  Mika PALOMA



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mardi 29 juillet 2014

Le port du casque, un geste salvateur


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Les accidents de circulation constituent un fléau majeur qui paralyse encore nos sociétés. Ils affectent beaucoup plus ceux qui roulent sur des engins à deux-roues, comme principal moyen de déplacement. 
Pour ce faire, les autorités interviennent pour imposer le port du casque ; ce qui devrait réduire le nombre de décès qui résulte de ces tragédies.


Les accidents de circulation, un vécu quotidien


Les dommages causés par les accidents de circulation ne sont plus des sujets tabous. Rien ne garantit que l'on sera épargné si on roule soit dans une voiture, soit sur une moto

Depuis fort longtemps, ces drames se multiplient sur nos routes. Enfants comme adultes succombent à l'épreuve. Mais le secteur le plus touché est sensiblement celui qui concerne les conducteurs de moto. 

Curieusement, c'est devenu un phénomène récurrent dont personne ne s'en mêle. C'est ainsi qu'on enregistre des morts sur nos routes suite aux accrochages. 

La principale cause reste l'excès de vitesse qu'on doit sérieusement revoir ; viennent s’ajouter ensuite l'imprudence souvent due à l'alcoolisme et le non-respect des codes de la route. Ceci dit, une campagne de mobilisation et la prise des mesures draconiennes sont lancées. 


Comment réduire ce phénomène ?

Flatter le cheval jusqu'à ce qu'il ne soit scellé, tel est la ligne directive de cette propagande. De nos jours, rouler sur une moto sans avoir porté un casque constitue une peine dont fera l'objet un conducteur. 

Tout le monde est concerné. En plus, les forces de l'ordre doivent intervenir de façon imposante pour réprimander tout individu récalcitrant qui tentera d'enfreindre cette loi. 

On commence déjà par noter cette présence dans nos plus grandes capitales. Mais c'est une campagne très limitée. Par exemple, les vigiles sont inégalement répartis sur nos territoires et les zones reculées où il n'y a pas d’activités économiques sont oubliées. Or, ce sont plutôt ces endroits qui en sont plus concernés. 

Souvent, on nous apprend qu' à dix kilomètres de telle ville, un autobus a renversé un conducteur de moto ; suite à cela, le responsable s'enfuit. De la même façon, au lieu de respecter les feux tricolores, il y en a qui y vont à vive allure et neutralisent ceux qui essayent de se conformer à la règle. 

Des mesures rigoureuses doivent être prises comme, payer des dommages, saisir ces engins afin de donner une leçon de moralité aux concernés ou encore garder les motos jusqu'à ce que les propriétaires n'apportent leurs casques


Ce que nous devons savoir

Si vous tombez d'une moto, le premier élément qui se dirige vers le sol est notre tête. Et bien évidemment, ça entraîne des troubles mentaux ou bien, même une hémorragie interne pouvant conduire à la mort. 

Un slogan doit être désormais lancé pour sensibiliser le plus grand monde possible afin d’espérer un bon résultat. De la même façon, on doit créer des organismes à but non-lucratif pour vendre des casques à bas prix afin de permettre aux démunis d'avoir accès. 

La charité bien ordonnée commence toutefois par soi-même. Il est donc de mise que les décideurs soient un modèle pour les citoyens qui recherchent des informations pour une société meilleure.



Portez donc tous un casque ou un support qui peut protéger vos têtes si vous conduisez une moto. Votre vie étant précieuse, il est donc recommandé de l'entretenir. 

Elle est unique et ne se partage pas. Passer à côté des conseils, c'est planifier son propre déclin. Levons-nous donc pour participer à cette immense sensibilisation.

                                                                                Mika PALOMA

 
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La morsure d'un serpent


     
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Nul au monde ne peut démentir l'effet venimeux du serpent et de ses conséquences désastreuses. C'est ce qui est arrivé à une jeune dame d'une quarantaine d'années. 

La femme a malheureusement fait l'amère expérience de sa vie en se faisant mordre par une vipère ; ce qui lui a coûté cher.
   

Une morsure simplement étrange        

Malgré l'évolution fulgurante de la médecine, les âmes succombent encore faute de moyens. Samedi dernier, un groupe de trois femmes est parti dans la brousse. Leur objectif, aller chercher des bois secs

Ces bois servent à mettre du feu pour la cuisine et diverses activités ménagères. La scène se déroule vers huit heures du matin. Une fois arrivée dans la brousse, chacune d'elles prend une direction particulière. 

C'est ainsi que notre pauvre dame du nom de Massan vaquait comme d'habitude à ses travaux. Elle a pris soin de rassembler deux gros tas de bois quand sur le troisième, elle a senti quelque chose glissée sous ses pieds. 

En se retournant pour voir de quoi il s'agit, une grosse vipère surgit et la mord ; au moment de crier à l'aide, une seconde morsure intervient, ce qui s'est fait en deux-temps avant que l'animal ne disparaisse. Étrange non ? 

On sait tous que d'habitude, un serpent ne mord qu'une seule fois avant de prendre la fuite. Mais celui-là était apparemment bien décidé à se manifester. 


Ils ont choisi la médecine traditionnelle et...

Précipitamment, les autres accoururent pour essayer de mettre le garrot. Peu après, un homme proche des lieux intervient. Au lieu de transporter la dame directement à l'hôpital, il a préféré l'emmener chez un herboriste de la localité. 

Ce qui au vu de certaines personnes, n'est pas une mauvaise chose en soi, sauf que notre herboriste n'était pas là. Ils sont donc obligés de l'attendre jusqu'à ce qu'il ne revienne. 

Durant ce temps, le venin a déjà parcouru une étape importante dans sa course. Vite, il rassembla différentes herbes dont il macéra et broya dans l'eau puis la donna à la femme. Celle-ci l'a bu et aussitôt, elle vomit. 

Dans ce qu'elle a vomi, on peut distinguer une couleur bleue symbolique du venin, résultat de l'action des herbes préparées. Ce ne fut qu'un moment de soulagement. 

Les uns criaient déjà délivrance ; mais l'herboriste a pris soin de leur indiquer qu'après son traitement, il s'avère primordial d'aller faire d'autres piqures contre la morsure du serpent

Une fois revenue chez elle, la dame décida de se coucher, prenant la suite à la légère et abandonna le reste du traitement. Certainement que quelque chose lui est passée par la tête, sinon comment peut-on risquer aussi gros ? 


Elle est morte par négligence

Durant tout ce temps, sa fille unique la consolait et resta donc à son chevet. Toute la nuit, elle n'arrive pas à dormir. Massan ronronnait et gémissait. À quatre-heures du matin, elle s'endort paisiblement. 

Sa fille, ignorante, croyant que sa mère s'est plongée naturellement dans un sommeil, la quitta. Tôt le matin, les proches sont venus pour la saluer et demander d'après l'état de sa santé. "Il y a un remède à tout sauf à la mort" disait un écrivain contemporain. Madame Massan n'est plus ! 

Que ce fut un moment de tristesse. Devant une foule immense, on ne peut que voir ses proches parents stupéfaits, prêts à tout pour témoigner de leurs profondes douleurs.


  


Si aujourd'hui avec tant d'efforts dans la médecine, des hommes meurent encore inutilement, on doit se poser d'autres questions. La morsure du serpent est un drame qu'on peut traiter. 

Il est donc impératif de se faire soigner dans un centre de santé suite à une morsure que ce soit du serpent ou de tout autre animal venimeux. La vie est chère, préservons-la.

                                                                Mika PALOMA


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vendredi 25 juillet 2014

Les fruits de la générosité: Episode 1


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Il était une fois, dans un village appelé Kabadè, un jeune homme nommé Jack. Cet individu aux allures remarquables est l'un des hommes les plus cléments que regorge encore notre monde rongé par l’égoïsme

Dans son village, hommes, femmes et enfants clament la bravoure et l'esprit de partage qui l'anime. Dans l'évolution de sa vie courante, il surprend par sa force et son courage. Laissez-vous donc emporter dans ce monde où Jack vous promet des retombées inoubliables.



On a coutume de dire que donner est bien plus vertueux que recevoir. Jack est la preuve vivante des humains aux cœurs en or. Il est sorti avec succès après avoir terminé l'école secondaire de premier cycle. 

Bien que ses parents ne soient pas aisés, ils ont tout fait en leur pouvoir pour l'envoyer continuer les études supérieurs. Au début, Jack était l'icône de sa classe; 

Il brillait par son intelligence, son coup d'éclat, sa facilité à comprendre les choses. Ce qui l'emmena à être élu le meilleur de sa classe. 

Peu à peu, les choses commençaient à prendre une dimension positive. Il est désigné pour poursuivre une formation en ingénierie dans une très grande université aux USA

Problème, tout l'accueil et son séjour sont dans le compte de l'établissement mais ses parents doivent assurer les frais de transports.

Cette famille modeste n'a d'autres solutions que de passer de portes en portes pour un éventuel garanti. Mais hélas! Le jour prévu est arrivé et Jack n'est pas prêt à répondre présent. 

Les responsables étaient donc obligés de le remplacer par son poursuivant direct. Ce qui est fait. Une profonde amertume anima Jack qui décida d'abandonner L'école et de se consacrer aux travaux champêtres afin d'aider son aimable père...
                                                                              
                                                     A suivre!
                                                                        Mika PALOMA


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jeudi 24 juillet 2014

Comment la Chine aide t'elle à réduire le chômage en Afrique?


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 La crise économique continue de secouer notre planète. Les pays dits développés ne sont pas non plus épargnés. Qu'en dira t-on de nos pays Africains majoritairement en voie de développement. 

Cependant, la Chine aujourd'hui seconde puissance économique mondiale, intervient en Afrique comme le guide de notre vieux continent.


 La révolution chinoise pour un monde prospère


Le monde avance. Les temps changent ainsi que nos mentalités. Les relations humaines évoluent. De nos jours, se mettre en contact direct avec un inconnu est possible grâce à internet. Les téléphones portables ont révolutionné le monde et toutes les transactions sont possibles. 

Au temps de nos ancêtres, voir un vélo rouler n'est qu'un mythe. Mais aujourd'hui, loin d'être une étape, on assiste bien plus qu'à ça.

Qui au temps d'Adam, aurait pu imaginé qu'un avion survolera nos têtes ? Qui aurait pu rêvé de faire le tour de monde comme Magellan ? Qui d'entre nous saurait conduire une moto? Mais la vie est un véritable fleuve. Elle modifie son cours de temps à autres. 

Voilà un peu d'où découle la vraie histoire entre la Chine et l'Afrique. La révolution Chinoise si j'ose dire a affecté tant l'occident que l'Afrique noire. 

Elle ne s'est même pas inquiétée de l’ampleur de la crise économique. Au contraire, elle s'identifie comme la solution à son propre problème. 

Voir la Chine à ce rang, sinon à cette étape juste derrière les USA, en tout cas n'est pas si étonnant. Peut-être que j'exagère mais à force d'être organisé et objectif, on finit  par se faire une place. 


La Chine, une terre d'espoir pour les Africains ?

La population Africaine a tous ses problèmes. La Chine a la plus grande partie de ces solutions. C'est vrai, l'union fait la force et le plus grand arbre est toujours né d'une graine menue. 

L'industrie Chinoise a considérablement poussé la jeunesse Africaine a respiré profondément. Mis à part le commerce qui est aujourd'hui l'apanage d'une grande partie,  les africains s'en vont en Chine pour l’achat de ces produits finis. La Chine est pourvoyeur de Motos pour l'Afrique. 

Si vous allez dans les grandes capitales africaines, la marque Chinoise l'emporte. Des motos de différentes marques y sont étalées partout. Sur les routes africaines, on assiste à un nombre incalculable de taxi-motos qui errent dans les rues. 

Les jeunes gens représentant plus de la moitié de la population, sont liés à ce boulot. Faute de moyens pour débuter leurs propres activités, ils deviennent conducteurs de taxi-moto

Le commerce de motos est d'autant plus implanté en Afrique et la Chine ne fait que fructifier son marketing. La Chine a endormi les cœurs meurtris, réconforté les espoirs perdus et donner un nouvel élan aux hommes d'affaires. N'en déplaise à ses détracteurs. 


Une destination de rêve pour la jeunesse Africaine

Vivre aujourd'hui en Afrique et se voir un jour en Chine est le rêve inavouable de plusieurs aujourd'hui. Convaincu de leur supériorité, les ressortissants Chinois sont aujourd'hui nombreux en Afrique. 

La langue Chinoise autrefois détestée est aujourd'hui le "chouchou" des africains. Les taxi-motos communément appelés "zémidjan" a fortement aidé a diminué le chômage. Les autorités africaines en sont conscients. 

Poussés par l'envie, cette volonté farouche de découvrir, de réaliser, nos chers africains s'en vont en Chine pour la commande des marchandises. Ces dernières sont en retour vendues au pays ou à l'étranger selon le moyen d'action du commerçant. 

Bien que les États-unis soient la première puissance économique du monde, ils ne sont pas curieusement le premier pôle d'attraction des commerçants africains. Les réalisations Américaines sont toujours jugées qualitatives et durables mais ne bénéficient pas du même engouement comme la Chine. 

Peut-être est ce le manque de capitaux qui oblige les africains a se diriger vers l'orient ? Puisqu'ils n'auront pas à beaucoup dépenser, ils se contentent de leur peu. 


Les chinois sont présents partout au monde

La Chine a aujourd'hui envahit l’Afrique. Elle est également présente dans la construction, génie-civil. Elle participe de façon impériale à la réhabilitation de nos voies tout en donnant une seconde chance aux jeunes chômeurs. 

Cette population Chinoise révolutionnée, assoiffée de conquérir le monde, a donné de nouveaux ailes aux jeunes. Cette classe d'âge est plus que jamais décidé a exploser aux yeux du monde.


L'Afrique a des ressources tant mentales, physiques que morales. Elle regorge plein de cerveaux. Elle n'a besoin que des initiatives guidées pour asseoir sa notoriété. 


Plusieurs d'entre eux ont déjà franchis la méditerranée quand d'autres se cherchent encore. Si comme la Chine, d'autres puissances interviennent pour implanter leurs entreprises, l'Afrique ne tardera pas à effacer les pages sombres de son histoire. 

Les dirigeants africains ont donc la balle dans leurs camps pour faire parler leurs savoir-faire et faire taire les critiques.
  
Afrique de fiers travailleurs, lève toi et marche!

                                                                          Mika PALOMA


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mardi 22 juillet 2014

Le fleuve ZIO, une aubaine pour les habitants de Masebo





                                   
Zio est un fleuve situé au sud du TOGO, précisément dans la région maritime. Il couvre une partie importante des banlieues loméennes et est l'un des plus rares menaces de la région. 


Toutefois, il constitue un atout non négligeable pour la population locale qui vante les mérites de la pêche en tant normal.                                                   

Le Togo est un pays de l’Afrique noir occidental. Un pays qui ressemble un tout petit peu à ses voisins du continent mais riche en surprises. La beauté de son paysage et la générosité de ses habitants font de ce pays un merveilleux site de retraite. 

Ceci s'explique par des prairies à couper le souffle, une culture authentique souvent mise en évidence par l'activité féminine, et des savanes. En effet, le sud du pays est en partie traversé par un fleuve: le Zio


Mais en quoi, Zio est-il un fleuve particulier?

Comme tout fleuve, le Zio prend sa source au niveau du plateau de Danyi et se jette dans le lac Togo. Son activité se passe presque inaperçue mais il constitue une véritable aubaine pour les autochtones. 

Quand il se remplie, il déborde et traverse une surface importante. Ce qui ne l'empêche pas de faire des ravages. Dans un temps donné, il rentre dans les champs, traverse la savane de Masebo et étend sa rage sur les encablures de la région. 

Le Zio peut rentrer dans les maisons proches, semer la panique et même renvoyer des gens chez eux. Certains appellent le phénomène "la levée du diable" tandis que d'autres le considèrent comme une simple anomalie. 

Vue de loin, le Zio présente une apparence beaucoup plus calme mais dangereux pour ceux qui ne savent pas nager. Si beaucoup ne sont pas avisés des avantages qui en découlent, d’autres savourent ses bienfaits. 


Un avantage unique pour les autochtones

Cependant, comment avoir une telle richesse, un si rare patrimoine et ne pas en profiter ? C'est ce que tente de prouver chaque fois notre modeste population, les filets par ci et les pirogues par là. Voilà les armes fatales de nos vaillants pêcheurs.
                      
Ils en vont par groupe de trois, quatre, aguerris, le regard conquérant. Ils parcourent le fleuve du matin au soir espérant revenir avec de bonnes prises. Les poissons capturés sont mis dans des nasses spécialement conçues pour la circonstance. 

Divers types de poissons sont donc pêchés comme les silures, les vandoise et bouvières. Vite, ils regagnent la maison et les rendent aux femmes. 

Ces dernières s'activent rapidement pour les mettre en bon état. Salaison, séchage, fumage constitue leurs principaux moyens de conservation. Dans cette localité, plus besoin d'aller au marché pour chercher de la viande. 

A Masebo, chacun se réjouit de ce don naturel. Même les gens qui habitent la ville y vont pour chercher quelques poissons. Que du bonheur ! Du régal, surtout si c'est préparé comme la pâte à la farine de manioc: très délicieux.

Les poissons braisés deviennent la propriété de la gente féminine de Masebo et les enfants s'en réjouissent. Plus loin sur le lit de Zio, se trouvent des sentiers remplis d'eau résultant des restes de chute du fleuve. 

Les champs sont parfois envahis mais l'eau ne prend que quelques jours pour se replier. On admire, on savoure. Voilà les vertus tant convoités par nos chers urbanistes.


A chaque localité, sa vertu

Vivre dans les campagnes apparait pour certaines personnes comme un cauchemar et un gâchis. Pour d'autres, c'est une véritable rivière de délice. 

Avoir un fleuve ou une rivière à proximité est encore vertueux. On comprend alors pourquoi nos grands parents qui vivent dans les villages s'acharnent à rentrer une fois arrivés en ville.
              


Il est donc promu que le Zio, fleuve situé à Masebo dans une banlieue loméenne réserve tant pour les aborigènes que les étrangers un sacré accueil. A vous de visiter pour juger.

                                                                              Mika PALOMA

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mercredi 2 juillet 2014

une inédite inondation

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Affreuse inondation à Adamavo...

Jusque là tout va bien. La population locale toujours sympathique vaque tant bien que mal à ses occupations. Il est trois heures du matin. Des grondements de tonnerre se font entendre accompagnés d'incessants éclairs qui sillonnent le ciel. 

Plus loin, on entend le bruit sourd des motos et taxis encore en activités. On se demande si le monde allait tomber sur nos têtes.




      
Et si c'était un déluge?

Les grondements commencent à donner des frissons. Tout le monde se réveille. On ne peut que constater l'ampleur de l'événement. Le vent souffle encore plus fort. Les arbres se balancent de gauche à droite comme pour chanter cette belle mélodie des grandes fêtes. 

Soudain, la pluie commence à tomber drue. Nous sommes à quatre heures du matin. Chacun se recroquevillait chez soi espérant savourer ce beau moment, la pluie n'étant plus au rendez-vous il y a fort longtemps. 

Comme pour combler ce passage à vide, il ne cesse de pleuvoir. La pluie a duré deux heures quand à ce moment, tout le monde tente de se réveiller. Mais hélas ! La continuité de l'intempérie commence à prendre des dimensions inquiétantes; Les gens sont obligés d'aller au service. 

Par où peut-on passer ? Nul part. Presque toutes les maisons sont remplies d'eau. Les petits enfants sont donc condamnés à rester dans leurs chambres suivant les ordres de leurs parents au risque de se noyer. Les courageux tentent d'évacuer l'eau de leurs maisons par mille voies. Mais ce ne serait qu'anecdotique. 

La vraie scène se se passe encore au dehors, dans les rues. Les femmes gémissent ; Les enfants pleurent. Il n'y a pas de place par où passer. Pas même un motocycliste ou un vélo; Pas même un sentier où mettre le pied. 

Les braves qui tentent de mettre des dispositifs pour créer un chemin voient leurs efforts voués à l'échec. On se demande si on est pas proche d'une catastrophe naturelle

Cette pluie diluvienne qui n'a pas encore dit son dernier mot continue de faire parler. Tous les quartiers environnants sont concernés. Nul n'est épargné.


✿    ✿



La Pluie a gelé toutes les activités

Désormais, il n'y aura plus de boulot, plus de bals, plus de festivals. Cette ville réputée pour avoir abrité de grands festivals de musique et d'arts culinaires est aujourd'hui comme un cimetière. 

Tout le monde se demande quand ça va s'arrêter, ce déluge. La pluie a duré trois jours successifs et les dégâts sont considérables. Aucun engin ne rentre dans la contrée. Rien ne sort. Tous sont privés d'occupations. 

Les inquiétudes grandissent. On ne peut plus sortir pour chercher des vivres, résultat, la faim se fait sentir. On n'est plus à l'aise. Seuls les hommes se battent à cor et à cri pour essayer de minimiser l'ampleur de l'événement. 

Ceux qui rentrent dans l'eau, rapportent que de probables intrusions y figurent. Certains témoignent même de la présence des serpents, des crapauds, bref tout ce qui peut exister dans l'eau. La peur commence à prendre la ville. 


Les premiers espoirs

Chacun essaye de trouver des initiatives en vain. Une semaine est passée et voilà le premier espoir. Pour rallier une autre contrée exempte d'eau, il va falloir trouver une pirogue. La quête est lancée. La mobilisation est grande; Il n'y a plus de temps à perdre. 

Tout le monde se bât. Même les femmes courageuses qui n'ont plus le choix se jettent dans la bataille. Pas pour longtemps, on arrive à tailler trois bonnes pirogues; Le soulagement est au rendez-vous. On peut alors un tout petit peu respirer. 

Ce beau quartier jadis populaire est aujourd'hui sinistre et lacustre. Pas de temps. Vite, on procède aux évacuations.Les sinistrés vont se réfugier dans d'autres quartiers et établissements scolaires tandis que les braves résistent au phénomène. Les échanges se font désormais par pirogue, rien d'autres. 

La débâcle dure plusieurs jours quand de nouveaux espoirs arrivent. On parvient à tailler des planches pour essayer de construire des ponts reliant un point à un autre. Peu à peu, le projet prend forme. 

Maintenant, on peut dire merci puisque au moins on aura plus à marcher beaucoup dans l'eau. L'inondation a duré des jours, des semaines, des mois et l'on se demande si un jour le quartier pourrait retrouver son sourire. 

Peu à peu les choses rentrent dans l’ordre. On pourrait se déplacer, sortir mais bien loin pour trouver de l'espace. Les activités paralysés reprennent leurs cours mais de façon nonchalante. On commence par s'y habituer. 

Toutes les nuits sont d'autant plus difficiles car chaque fois qu'il y a un bruit sourd dans l'eau, la crainte se renforce. Sur toutes les lèvres, du jamais vu! du jamais vu!, pouvait-on entendre. Les vieilles personnes en témoignent. 

Mais que peut le feu contre le froid. On est obligé d'accepter malgré soi. Il faut donc attendre un jour le dénouement pour trouver la vraie solution. De Panape à kaliss c'est tout un mystère. Un mystère que seuls les experts pourraient étudier. 


Enfin, La ville renait

Ils travaillent d’arrache-pied pour évacuer l'eau. Le travail s’avère payant. On diminue le niveau de risque. Les gens pourraient mettre des briques et trouver des places pour leurs va-et-vients. L'espoir est de retour. Et comme la vie est faite de haut et de bas, l'eau comme un mystère, disparait. 


L'assainissement du milieu est fulgurant. Les efforts ont payé, mais les autorités doivent faire preuve de sincérité pour endiguer voire prévenir une telle catastrophe.

 
On peut dire que les petits facs d'eau qui ne ruissellent pas constituent la source irréfutable de ce qui s'est passée.Ils entrainent l'accumulation des moustiques d'où le paludisme. Chacun a vraiment compris que sans une intervention saine, on risque d'assister un jour encore à ce débâcle, vu l'allure que peuvent prendre ces zones en des périodes de saisons pluvieuses.


                                                                                                       Mika PALOMA


Article originel rédigé par le rédacteur web, rédacteur d'article publicitaire à votre service,  Mika PALOMA