Distraction: Un achat pas comme les autres

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Il était une fois, un vieux père nommé grand-père Malik. Il aimait les moutons tant il en possédait un. Celui-là, il l'a ça ferait au moins deux ans écoulés. Il l'entretenait soigneusement, le conduisait chaque matin au pâturage. 

L'animal ne manquait absolument de rien. Les soins vétérinaires sont toujours à jour et tous ceux qui venaient dans la maison, surnommait le vieux Malik, le bon berger. Il avait l'habitude de surveiller l'animal toute la journée et la nuit venue, il le mettait dans son enclos soigneusement aménagé. Le mouton comme tout animal, dans les conditions normales de température et d'aisance devient sacrément gras.

 
Le voleur volé : stupidité oblige

Dans ce même village mais environ deux kilomètres de chez Malik, un jeune << prédateur >>, qui effectue la chasse aux animaux épiait le pauvre mouton de Malik. Ce voleur diplômé qui use de tout les caprices pour dérober les biens d'autrui planifiait donc d'aller enlever le mouton au vieux. 

Ce jour-là, il avait économisé soixante-dix mille francs suite à un travail de longue haleine qu'il a livré. Il décida donc d'inviter les amis et d'organiser une fête pour son anniversaire qui se tiendra le jour suivant. Il avait programmé d'aller la nuit même escalader le mur de la maison du vieux sans compter sur le Dieu de Malik. 

Ironie du sort, le pantalon qu'il a porté pour effectuer son opération contenait jalousement la somme de soixante-dix mille francs dans l'une des poches. Il partit donc puis entrepris une opération réussie puisque personne ne l'arrêta. 

Le jour venu, tout en joie, le son de la musique bien élevé, entra dans sa chambre pour prendre une partie de son argent. Pas même un centime ne lui reste. Il compris très tôt que l'argent était resté dans ce pantalon qui a servi au délit. 


Impossible de récupérer son argent

Mais il n'a plus de moyen pour le récupérer. Or au même moment, Malik qui gémit à cor et à cri, se souvenait de ces jours de calvaires durant lesquels il déployait son peu d'énergie qui lui reste pour assister son petit compagnon. 

Il parcourait la maison espérant retrouver l'animal, le mouton a disparu. Il suivait attentivement les traces et arriver au pied du mur, il eu une grosse surprise: Soixante-dix mille francs sont laissés, là même où le voleur a escaladé le mur. Il n'en revenait pas. Il prit soin de ramasser son gain puis abandonna sa recherche.

Le jeune voleur quand à lui, le mouton attaché à une corde, se promena dans le village. Il se dirigea intentionnellement vers la maison de Malik mais faisait semblant de demander à n'importe qui il rencontre si le mouton ne lui appartient. 

Personne n'a pas reconnu la propriété du mouton jusqu'à ce qu'il ne rencontra à son tour, Malik. Il le reconnaissait bien. Il s'arrêta puis lui posa la même question. Malik répond ne possédant pas ce genre d'animal et n'en avait jamais vu pareil dans son quartier. 

Le jeune garçon qui se sentait donc perdu, se retourna chez lui, le mouton à la main. Éhonté, il se dit: << C'est inadmissible d'acheter ce petit mouton à soixante-dix mille francs .>>

Voilà donc où amène le vol. Prendre quelque chose d'autrui équivaut à s'attendre à une lourde perte.
Et vous, comment trouvez-vous cette histoire?

                            Mika PALOMA


Article originel rédigé par le rédacteur web, rédacteur d'article publicitaire à votre service,  Mika PALOMA