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Un homme d’à peine une cinquantaine d'année se donne le plaisir de gifler ses semblables. Chaque matin, cet individu apparemment aisé et vivant dans une maison de deux étages, s’assoit sur une chaise devant sa porte. De là, il fait des grimaces afin d'attirer l'attention du public.
Quand la blague éclipse la folie bien réelle
L'homme, avec une mégalomanie avancée, pose d'abord une question choquante à chaque passant. Son questionnaire est du type : "Aimerais-tu recevoir un gifle contre cette somme" ou bien "Un gifle pour cinq mille franc, en veux-tu ?".
Tout ceci se développe dans une configuration et à l'interlocuteur d'accepter ou non la proposition. Une folie des grandeurs qui pousse cet homme à gifler toute personne consentante y compris les enfants.
Ainsi donc, un enfant de treize ans qui au vu des faits, veut aussi retirer ces cinq mille francs s'est fait sauvagement gifler. De retour à la maison, il n'a pas mis ses géniteurs au courant. Au même moment, un mal de tête l'envahit et il tombe malade. Sa tempe droite grossit sur le coup et une fièvre chronique qui ne dit pas son nom s'installe donc.
Il doit payer les pots cassés
Des témoins de la scène ont avisé les parents qui sont restés sidérés. Face à cet acte, la police est sollicitée d'urgence. Le monsieur déclare n'avoir forcé personne.
Toutefois, il reste confiant sur le fait que légitimement, il donne de l'argent en compensation. Un acte qu'il juge d'ailleurs sans infraction aux lois.
Dès lors, la famille de l'enfant malade, déplore ce vice et dépose une plainte. Leur objectif : arrêter l'homme en question et le traduire en justice.
L'individu devrait payer des dommages et intérêts et suivre l'état de santé de l'enfant jusqu'à la guérison finale. Un acte aussi irréfléchi que cela puisse paraître.
Mika PALOMA
Article originel rédigé par le rédacteur web, rédacteur d'article publicitaire à votre service, Mika PALOMA
Un homme d’à peine une cinquantaine d'année se donne le plaisir de gifler ses semblables. Chaque matin, cet individu apparemment aisé et vivant dans une maison de deux étages, s’assoit sur une chaise devant sa porte. De là, il fait des grimaces afin d'attirer l'attention du public.
Quand la blague éclipse la folie bien réelle
L'homme, avec une mégalomanie avancée, pose d'abord une question choquante à chaque passant. Son questionnaire est du type : "Aimerais-tu recevoir un gifle contre cette somme" ou bien "Un gifle pour cinq mille franc, en veux-tu ?".
Tout ceci se développe dans une configuration et à l'interlocuteur d'accepter ou non la proposition. Une folie des grandeurs qui pousse cet homme à gifler toute personne consentante y compris les enfants.
Ainsi donc, un enfant de treize ans qui au vu des faits, veut aussi retirer ces cinq mille francs s'est fait sauvagement gifler. De retour à la maison, il n'a pas mis ses géniteurs au courant. Au même moment, un mal de tête l'envahit et il tombe malade. Sa tempe droite grossit sur le coup et une fièvre chronique qui ne dit pas son nom s'installe donc.
Il doit payer les pots cassés
Des témoins de la scène ont avisé les parents qui sont restés sidérés. Face à cet acte, la police est sollicitée d'urgence. Le monsieur déclare n'avoir forcé personne.
Toutefois, il reste confiant sur le fait que légitimement, il donne de l'argent en compensation. Un acte qu'il juge d'ailleurs sans infraction aux lois.
Dès lors, la famille de l'enfant malade, déplore ce vice et dépose une plainte. Leur objectif : arrêter l'homme en question et le traduire en justice.
L'individu devrait payer des dommages et intérêts et suivre l'état de santé de l'enfant jusqu'à la guérison finale. Un acte aussi irréfléchi que cela puisse paraître.
Mika PALOMA
Article originel rédigé par le rédacteur web, rédacteur d'article publicitaire à votre service, Mika PALOMA
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