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En majorité des cultivateurs, les habitants de mon village ont une seule devise. Leur quotidien est partagé par le travail de la terre. Jadis peuplé de vieux et jeunes gens, mon village dispose d'un atout extraordinaire qu'est l'organisation systématique de ses cases.
Aujourd'hui avec la modernisation, les enfants qui naissent ne connaissent pas ces glorieux temps qu'a connu Houéyogbé.
Tout comme les autres, Houéyogbé est un village situé au sud du Bénin. Là, les habitants ont une culture authentique qu'ils gardent jalousement. Mes vacances sont une occasion pour visiter cet endroit merveilleux.
Tôt le matin déjà, le coq donnait son hymne à la manière d'une cloche d'église. A tour de rôle, les autochtones se levaient et vaquaient à leurs occupations. C'est l'occasion pour nous autres de contempler la beauté du paysage.
C'est extraordinaire! Par ci, par là, on entend les cris d'enfants en joie, le bêlement de moutons et l'alarme donné par ces vieux vélos que possèdent encore les anciens cultivateurs. Sur ces vélos, les laboureurs patiemment, se dirigent tant bien que mal vers leurs champs.
Les femmes, leurs récipients sur la tête, se dirigent en foule vers les puits afin de chercher de l'eau. Là encore, c'est une manière originale d'immortaliser une habitude locale.
D’autres parts, par groupe de deux ou trois et suivant la cadence des pilons, les dames façonnaient du foufou. La vieille dame, assise juste à côté de l'entrée de la case, admirait les va-et-vient de ces muscles robustes encore prometteurs. Elle en avait fait autant. Seuls ses beaux vieux jours peuvent en témoigner.
Lire la suite ici
Mika PALOMA
Article originel rédigé par le rédacteur web, rédacteur d'article publicitaire à votre service, Mika PALOMA
En majorité des cultivateurs, les habitants de mon village ont une seule devise. Leur quotidien est partagé par le travail de la terre. Jadis peuplé de vieux et jeunes gens, mon village dispose d'un atout extraordinaire qu'est l'organisation systématique de ses cases.
Aujourd'hui avec la modernisation, les enfants qui naissent ne connaissent pas ces glorieux temps qu'a connu Houéyogbé.
Tout comme les autres, Houéyogbé est un village situé au sud du Bénin. Là, les habitants ont une culture authentique qu'ils gardent jalousement. Mes vacances sont une occasion pour visiter cet endroit merveilleux.
Tôt le matin déjà, le coq donnait son hymne à la manière d'une cloche d'église. A tour de rôle, les autochtones se levaient et vaquaient à leurs occupations. C'est l'occasion pour nous autres de contempler la beauté du paysage.
C'est extraordinaire! Par ci, par là, on entend les cris d'enfants en joie, le bêlement de moutons et l'alarme donné par ces vieux vélos que possèdent encore les anciens cultivateurs. Sur ces vélos, les laboureurs patiemment, se dirigent tant bien que mal vers leurs champs.
Les femmes, leurs récipients sur la tête, se dirigent en foule vers les puits afin de chercher de l'eau. Là encore, c'est une manière originale d'immortaliser une habitude locale.
D’autres parts, par groupe de deux ou trois et suivant la cadence des pilons, les dames façonnaient du foufou. La vieille dame, assise juste à côté de l'entrée de la case, admirait les va-et-vient de ces muscles robustes encore prometteurs. Elle en avait fait autant. Seuls ses beaux vieux jours peuvent en témoigner.
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