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Souvent en terre et recouvertes de paille, les cases du village abritent pas mal de gens. Très tôt le matin, tout le village se lève, le regard déterminé, le visage illuminé par cette belle journée qui se pointe lentement à l'horizon.
Pas pour longtemps, les ménagères étalent leurs marchandises. Bouillie, riz, haricot et d'autres repas locaux faisaient la fierté de ces villageois. Ce qui est encore attirant, c'est l'esprit de convivialité qui anime les habitants.
De très bonne heure, de part et d'autres dans les maisons et les rues, on reçoit des visites rien que pour la salutation. Une chose qui s'effectue même dans la soiré où une activité plus accentuée et extraordinaire se fait voir dans le village.
Vraiment, que ça fait rêver! Vers seize heures, on assiste par endroit à des cérémonies tant culturelles que religieuses. C'est l'occasion pour les femmes de se déhancher au rythme du tam-tam.
Le village de Houéyogbé, réputé pour son dialecte unique, n'a rien à envier aux autres. Une église rassemble chaque dimanche les fidèles, des écoles très bien organisées, font l'unanimité. Un hôpital de marque accueille les patients pour les premiers soins. Ce qui n'est pas mal vu l'allure des villages environnants.
La joie de vivre y est. On discute le soir auprès du feu avec les vieux gens. Ils nous comptaient des histoires, nous disent leur gloire. Ils adorent leurs petits fils ainsi que ces derniers. Le respect de la classe d'âge s'affiche clairement quand bien même une exigence particulière ne soit mise en place. L'éducation familiale a suffit pour découdre les nœuds.
Tout le monde considère son voisin comme tel. Le seul regret est qu'à l'heure du coucher, chacun se dirige de façon désespérée vers son lit, mécontent du fait que cette belle journée n'aurait pas dû s'achever trop tôt.
Mika PALOMA
Article originel rédigé par le rédacteur web, rédacteur d'article publicitaire à votre service, Mika PALOMA
Souvent en terre et recouvertes de paille, les cases du village abritent pas mal de gens. Très tôt le matin, tout le village se lève, le regard déterminé, le visage illuminé par cette belle journée qui se pointe lentement à l'horizon.
Pas pour longtemps, les ménagères étalent leurs marchandises. Bouillie, riz, haricot et d'autres repas locaux faisaient la fierté de ces villageois. Ce qui est encore attirant, c'est l'esprit de convivialité qui anime les habitants.
De très bonne heure, de part et d'autres dans les maisons et les rues, on reçoit des visites rien que pour la salutation. Une chose qui s'effectue même dans la soiré où une activité plus accentuée et extraordinaire se fait voir dans le village.
Vraiment, que ça fait rêver! Vers seize heures, on assiste par endroit à des cérémonies tant culturelles que religieuses. C'est l'occasion pour les femmes de se déhancher au rythme du tam-tam.
Le village de Houéyogbé, réputé pour son dialecte unique, n'a rien à envier aux autres. Une église rassemble chaque dimanche les fidèles, des écoles très bien organisées, font l'unanimité. Un hôpital de marque accueille les patients pour les premiers soins. Ce qui n'est pas mal vu l'allure des villages environnants.
La joie de vivre y est. On discute le soir auprès du feu avec les vieux gens. Ils nous comptaient des histoires, nous disent leur gloire. Ils adorent leurs petits fils ainsi que ces derniers. Le respect de la classe d'âge s'affiche clairement quand bien même une exigence particulière ne soit mise en place. L'éducation familiale a suffit pour découdre les nœuds.
Tout le monde considère son voisin comme tel. Le seul regret est qu'à l'heure du coucher, chacun se dirige de façon désespérée vers son lit, mécontent du fait que cette belle journée n'aurait pas dû s'achever trop tôt.
Mika PALOMA
Article originel rédigé par le rédacteur web, rédacteur d'article publicitaire à votre service, Mika PALOMA
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