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L'épidémie d'Ebola qui massacre depuis un bon bout de temps l'Afrique de l'ouest continue de tuer. Les pays touchés par ce virus essaient de prendre des mesures draconiennes qui sont pourtant limitées.
Les frontières ne garantissent pas une sécurité totale et les individus contaminés intègrent la masse populaire entrainant la propagation de la maladie.
Ebola, une épidémie absolument épouvantable
Après avoir détecté le virus Ebola en Guinée, au Sierra Leone puis au Libéria, c'est au tour des pays voisins de retenir leur souffle. Au départ, Ebola a déjà tué plus des centaines de personnes dans ces pays.
Elle se manifeste par une hémorragie nasale, des suites de toux accompagnées du sang qui coule ainsi que des diarrhées chroniques ne contenant que du sang. Ce sont là les premiers symptômes de l'apparition de la maladie. Ceci dit, il s'est révélé que le virus se trouverait dans les animaux de la brousse comme l'agouti, la chauve-souris parmi tant d'autres.
La consommation de ces animaux dans les pays touchés est interdite au risque de se faire contaminer. En plus, les fruits mangés par ces animaux ainsi que d'autres nourritures similaires sont interdits de consommation.
L'état des victimes en dit beaucoup sur la maladie
Tout individu contaminé est sur le champ mis à l'écart, isolé et condamné à un traitement. Tout contact avec ce dernier entraine automatiquement la transmission de la maladie. Même le personnel soignant a déjà subi ce coup dans lequel les médecins se sont infectés.
Ce mal renforce aujourd'hui la fermeture des frontières avec les pays avoisinants qui craignent la venue du virus dans leur pays. Mais malgré ces dispositions, on nous signale des cas au Nigeria, récemment aussi au Sénégal où des sources déments vivement cette polémique.
Dans tous les cas, le virus Ebola est réel. Il tue aujourd'hui plus que les maladies incurables. Il est de rigueur que les populations évitent de sous-estimer la maladie. Respectons les consignes pour ne pas être l'objet expérimental de cette razzia que provoque Ebola.
Unissons-nous désormais pour bannir le virus car c'est en informant les uns et les autres que nous pouvons supprimer le virus et sa propagation.
Mika PALOMA
Article originel rédigé par le rédacteur web, rédacteur d'article publicitaire à votre service, Mika PALOMA
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